Des routes maritimes plus sûres pour mieux protéger les milieux côtiers et récifaux : la quête des experts maritimes du Pacifique

Suva

Confrontés à l’augmentation du nombre d’accidents maritimes dans le Pacifique, les experts maritimes de 12 pays insulaires océaniens se sont réunis cette semaine pour débattre et pour recevoir une formation axée sur la création d’un environnement plus sûr pour les navires naviguant dans les eaux côtières de ces îles.

L’atelier, qui s’est déroulé les 25 et 26 juin, a été mis en place par la Communauté du Pacifique (CPS) avec l’appui de l’International Foundation for Aids to Navigation (IFAN) dans le cadre du projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique.

Les participants à l’atelier, des gestionnaires d’aides à la navigation et des représentants des gouvernements chargés des aides à la navigation, ont également assisté à une formation reconnue à l’échelle internationale portant sur l’outil d’évaluation des risques SIRA les 27 et 28 juin ; cette formation a été assurée par l’Académie mondiale de l’Association internationale de la signalisation maritime (AISM).

« Les deux jours de formation sur l’outil SIRA ont donné aux 15 participants les moyens de mener des évaluations formelles des risques dans les eaux de leur pays qui permettront de prendre des mesures améliorant la sécurité de la navigation, protégeant l’environnement marin et renforçant la conjoncture économique maritime de chaque État », a expliqué M. Stephen Bennett, vice-doyen de l’Académie mondiale de l’AISM, qui a dispensé la formation.

Le projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique a été lancé en 2016. Au cours des deux dernières années, la CPS a ciblé dans le cadre de la première phase de ce projet 13 États et Territoires insulaires océaniens qui ont fait l’objet d’une évaluation technique, juridique et économique sur le terrain visant à déterminer les besoins en matière de sécurité des systèmes de navigation.

Mme Francesca Pradelli, gestionnaire du projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique à la CPS, a souligné l’importance de ce projet : « Il est fondamental pour la protection de nos récifs et de nos côtes d’instaurer un environnement sans danger pour les navires dans les eaux côtières des îles océaniennes. Des aides à la navigation balisant les routes maritimes doivent être convenablement installées et entretenues par les pays insulaires océaniens afin de transmettre les informations de sécurité en mer à tous les navigateurs. »

Pendant les deux jours qu’a duré l’atelier, les participants ont analysé en profondeur lors des différentes séances les résultats de la première phase et ont convenu des activités d’assistance technique à mettre en place au cours des prochaines années afin d’améliorer encore la prestation des services d’aide à la navigation dans le Pacifique.

Mme Makerita Atonio, représentante de Samoa, a déclaré que le projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique avait porté ses fruits dans son pays en fournissant à l’administration maritime les informations techniques, économiques et juridiques dont elle avait besoin.

Au cours des trois prochaines années, la CPS prêtera main forte aux 13 États et Territoires insulaires océaniens qui procéderont à des évaluations des risques et appliqueront les recommandations de la première phase, qui portent notamment sur la mise à jour ou l’élaboration d’un registre des aides à la navigation, sur la mise à disposition d’une législation ou d’autres instruments pour renforcer le cadre juridique des États et Territoires insulaires océaniens en matière de sécurité de la navigation, ainsi que sur l’élaboration d’un budget et de plans d’entretien.

Confrontés à l’augmentation du nombre d’accidents maritimes dans le Pacifique, les experts maritimes de 12 pays insulaires océaniens se sont réunis cette semaine pour débattre et pour recevoir une formation axée sur la création d’un environnement plus sûr pour les navires naviguant dans les eaux côtières de ces îles.

L’atelier, qui s’est déroulé les 25 et 26 juin, a été mis en place par la Communauté du Pacifique (CPS) avec l’appui de l’International Foundation for Aids to Navigation (IFAN) dans le cadre du projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique.

Les participants à l’atelier, des gestionnaires d’aides à la navigation et des représentants des gouvernements chargés des aides à la navigation, ont également assisté à une formation reconnue à l’échelle internationale portant sur l’outil d’évaluation des risques SIRA les 27 et 28 juin ; cette formation a été assurée par l’Académie mondiale de l’Association internationale de la signalisation maritime (AISM).

« Les deux jours de formation sur l’outil SIRA ont donné aux 15 participants les moyens de mener des évaluations formelles des risques dans les eaux de leur pays qui permettront de prendre des mesures améliorant la sécurité de la navigation, protégeant l’environnement marin et renforçant la conjoncture économique maritime de chaque État », a expliqué M. Stephen Bennett, vice-doyen de l’Académie mondiale de l’AISM, qui a dispensé la formation.

Le projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique a été lancé en 2016. Au cours des deux dernières années, la CPS a ciblé dans le cadre de la première phase de ce projet 13 États et Territoires insulaires océaniens qui ont fait l’objet d’une évaluation technique, juridique et économique sur le terrain visant à déterminer les besoins en matière de sécurité des systèmes de navigation.

Mme Francesca Pradelli, gestionnaire du projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique à la CPS, a souligné l’importance de ce projet : « Il est fondamental pour la protection de nos récifs et de nos côtes d’instaurer un environnement sans danger pour les navires dans les eaux côtières des îles océaniennes. Des aides à la navigation balisant les routes maritimes doivent être convenablement installées et entretenues par les pays insulaires océaniens afin de transmettre les informations de sécurité en mer à tous les navigateurs. »

Pendant les deux jours qu’a duré l’atelier, les participants ont analysé en profondeur lors des différentes séances les résultats de la première phase et ont convenu des activités d’assistance technique à mettre en place au cours des prochaines années afin d’améliorer encore la prestation des services d’aide à la navigation dans le Pacifique.

Mme Makerita Atonio, représentante de Samoa, a déclaré que le projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique avait porté ses fruits dans son pays en fournissant à l’administration maritime les informations techniques, économiques et juridiques dont elle avait besoin.

Au cours des trois prochaines années, la CPS prêtera main forte aux 13 États et Territoires insulaires océaniens qui procéderont à des évaluations des risques et appliqueront les recommandations de la première phase, qui portent notamment sur la mise à jour ou l’élaboration d’un registre des aides à la navigation, sur la mise à disposition d’une législation ou d’autres instruments pour renforcer le cadre juridique des États et Territoires insulaires océaniens en matière de sécurité de la navigation, ainsi que sur l’élaboration d’un budget et de plans d’entretien.

Confrontés à l’augmentation du nombre d’accidents maritimes dans le Pacifique, les experts maritimes de 12 pays insulaires océaniens se sont réunis cette semaine pour débattre et pour recevoir une formation axée sur la création d’un environnement plus sûr pour les navires naviguant dans les eaux côtières de ces îles.

L’atelier, qui s’est déroulé les 25 et 26 juin, a été mis en place par la Communauté du Pacifique (CPS) avec l’appui de l’International Foundation for Aids to Navigation (IFAN) dans le cadre du projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique.

Les participants à l’atelier, des gestionnaires d’aides à la navigation et des représentants des gouvernements chargés des aides à la navigation, ont également assisté à une formation reconnue à l’échelle internationale portant sur l’outil d’évaluation des risques SIRA les 27 et 28 juin ; cette formation a été assurée par l’Académie mondiale de l’Association internationale de la signalisation maritime (AISM).

« Les deux jours de formation sur l’outil SIRA ont donné aux 15 participants les moyens de mener des évaluations formelles des risques dans les eaux de leur pays qui permettront de prendre des mesures améliorant la sécurité de la navigation, protégeant l’environnement marin et renforçant la conjoncture économique maritime de chaque État », a expliqué M. Stephen Bennett, vice-doyen de l’Académie mondiale de l’AISM, qui a dispensé la formation.

Le projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique a été lancé en 2016. Au cours des deux dernières années, la CPS a ciblé dans le cadre de la première phase de ce projet 13 États et Territoires insulaires océaniens qui ont fait l’objet d’une évaluation technique, juridique et économique sur le terrain visant à déterminer les besoins en matière de sécurité des systèmes de navigation.

Mme Francesca Pradelli, gestionnaire du projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique à la CPS, a souligné l’importance de ce projet : « Il est fondamental pour la protection de nos récifs et de nos côtes d’instaurer un environnement sans danger pour les navires dans les eaux côtières des îles océaniennes. Des aides à la navigation balisant les routes maritimes doivent être convenablement installées et entretenues par les pays insulaires océaniens afin de transmettre les informations de sécurité en mer à tous les navigateurs. »

Pendant les deux jours qu’a duré l’atelier, les participants ont analysé en profondeur lors des différentes séances les résultats de la première phase et ont convenu des activités d’assistance technique à mettre en place au cours des prochaines années afin d’améliorer encore la prestation des services d’aide à la navigation dans le Pacifique.

Mme Makerita Atonio, représentante de Samoa, a déclaré que le projet pour la sécurité de la navigation dans le Pacifique avait porté ses fruits dans son pays en fournissant à l’administration maritime les informations techniques, économiques et juridiques dont elle avait besoin.

Au cours des trois prochaines années, la CPS prêtera main forte aux 13 États et Territoires insulaires océaniens qui procéderont à des évaluations des risques et appliqueront les recommandations de la première phase, qui portent notamment sur la mise à jour ou l’élaboration d’un registre des aides à la navigation, sur la mise à disposition d’une législation ou d’autres instruments pour renforcer le cadre juridique des États et Territoires insulaires océaniens en matière de sécurité de la navigation, ainsi que sur l’élaboration d’un budget et de plans d’entretien.

Contact média :
Francesca Pradelli, Policy and Legal Officer, [email protected]

 

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