Andrew Jones a été nommé au poste de Directeur géosciences, services maritimes et énergie de septembre 2017 à fin 2021.
M. Jones est titulaire d’un doctorat et d’une licence en sciences de la Terre, obtenus à l’Université du Queensland.
Pendant 17 ans, il a travaillé avec les équipes chargées de l’extraction et du développement au sein de Geoscience Australia. Au cours de cette expérience, il a avant tout exercé des fonctions de direction, dans le cadre desquelles il a notamment assuré la planification, la gestion et l’exécution de plus d’une douzaine de projets financés par des bailleurs, pour le compte du ministère australien des Affaires étrangères et du Commerce et de gouvernements étrangers.
Il a également développé et géré un vaste réseau de partenaires de haut rang, en associant de multiples institutions régionales publiques et en collaborant avec des organisations multilatérales comme l’Organisation des Nations Unies (ONU) et la Banque mondiale.
Dans l’exercice de ses fonctions de direction, il a coordonné l’action d’équipes pluridisciplinaires étoffées et jonglé avec les budgets de fonctionnement d’un vaste et complexe réseau de partenaires d’origines nationales et culturelles différentes, dans des pays tels que l’Indonésie, les Philippines et la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Il a beaucoup travaillé dans le Pacifique, essentiellement dans le domaine de la prévention des catastrophes, conduit des projets axés sur les risques climatiques et géologiques en Papouasie-Nouvelle-Guinée et aux Tonga, et élaboré des programmes pour l’analyse des données spatiales dans la région du Pacifique Sud-Ouest.
Avant de rejoindre la CPS, M. Jones était en poste en Mongolie, où il était Conseiller en ressources internationales pour le Programme d’extraction Australie-Mongolie (AMEP). Dans le cadre de cette fonction, il a fourni une assistance technique au Gouvernement mongol afin d’appliquer les meilleures pratiques minières australiennes, de sorte à favoriser le développement durable des activités extractives en Mongolie. Il a également contribué à la rédaction de textes politiques et législatifs portant sur les meilleures pratiques internationales de gestion des premiers maillons de la filière minière. À ce titre, il a directement participé à la mise en place de mesures réglementaires pour la gestion du secteur minier.